hello,et bin nous n'avons pas le choix et pourquoi donc me diriez-vous,mais c'est de passer à l'heure d'hiver mais quelle idée un,nous étions bien à l'heure d'été ha je te dit bon alors quelques images pour illustrer pour petit article,ho je pourrais...
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J'entends encore les staccatos Le prolongement des sons des tam-tams Des tam-tams du temps jadis Alors les collines s'enflamment Dans la nuit sèche Les pieds des danseurs Se baignent dans la fine poussière De latérite Et leurs pas scandent sauvagement...
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Achetée à la célèbre foire du pays. Pour le travail,mais pour notre joie aussi, Charlotte, une ânesse brave et tranquille, Entra un beau jour dans la famille. Arrivée à l'âge d'être mère, On la mena à Saint-Hilaire, Où un "Grand Noir" du Berry Fut jugé...
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O terre ! Ah qu'il fait bon naître sur ton vaisseau Vivre sur tes rivages. Nos corps sont ta substance et tes flancs nos berceaux, La vie est ton ouvrage. Les cieux aux larges ondes Te porte toute ronde Autour du clair soleil, en présence des mondes....
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Comme le papillon qu'un mioche caresse, Notre amour souffre par nos jalouses tendresses. La phalène irisée aux ailes de satin Tombe un jour sous les doigts de quelque ardent mutin. Et c'est un beau délire, une indicible joie De capter ce bijou fait d'un...
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Le Jardin d’oubli Il me souvient, ce jour, des enfances premières en l’immobile temps d’un été beauceron, Dans un jardin d’oubli fleuri du liseron enlaçant le grillage et les roses trémières Que je cueillais pour toi, mon rouge chaperon. où sont enfuis...
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Dans l'azur de l'avril, dans le gris de l'automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne. Sa grâce a des langueurs de chair qui s'abandonne, Son feuillage...
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J’aurais aimé qu’on soit amis, Que l’on se parle, l’on s’écrive, Oser les mots de la dérive… J’aurais aimé que nos humeurs N’aient d’autre égal que nos humours, En échangeant rimes et fleurs Même une fois tous les deux jours… Pour quelque alexandrin construire...
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.... J'aimerais deviner au sillage de l'écume Notre grand voilier de vents contraires, Voir ses cales déborder de rires et de larmes, Voir son drapeau de mer claquer, Marteler nos mots dans le ciel qui tangue, Fictions de soupirs et de joies Aux adieux...
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Dans l'azur de l'avril, dans le gris de l'automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne. Sa grâce a des langueurs de chair qui s'abandonne, Son feuillage...
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